Saturday 9 June 2012

Révélations – Les pro-Gbagbo ne sont pas les tueurs de Sakré (Taï)

Révélations – Les pro-Gbagbo ne sont pas les tueurs de Sakré (Taï) donc certainement pas ceux qui attaqué les casques Bleues et les civils


Le quartier Oubi (autochtones) de Sakré sans vies
Exclusivité Connectionivoirienne.net
Selon des informations récentes parvenues à Connectionivoirienne.net, la version officielle des récentes tueries de Sakré (8 tués) ne tient pas la route. En effet, selon nos sources, confirmées par un diplomate Américain en poste au Liberia, les milices dites pro-Gbagbo ne sont pas les auteurs des meurtres de Sakré, survenus dans la nuit du 24 au mercredi 25 avril. 2012.
Les faits
Un dozo du nom de Sié Kambiré, aujourd’hui aux mains de la justice ivoirienne, fut l’auteur des premières tueries dans ce village. Selon nos informations, les dozos de Sié Kambiré, dans un conflit précédent les tueries de la nuit du 24 au mercredi 25 avril, avaient fait feu, tuant une dame du nom de D. Sylvie et blessant grièvement trois jeunes filles. Les huit personnes présentées par les autorités ivoiriennes comme les victimes des milices pro-Gbagbo, sont plutôt celles, tombées durant les représailles des villageois Lobi, contre les éléments de Sié Kambiré. Dans leur colère, le domicile de l’ancien ministre Gnonkonté Désiré, sera incendié par les Lobi. Il s’agirait d’une stratégie de conquête par la violence, mise en place par les populations venues des autres contrées de la Côte-d’Ivoire, afin d’apeurer les populations autochtones Oubis, pour que celles-ci fuient en masse leurs terres. Pour compliquer tout travail de recoupement, de vérification des faits et de recherches de la vérité, les FRCI vont alors affirmer que les victimes étaient d’origines étrangères (Nigérians, Togolais etc. ) pour la plupart. « Nous n’avons vu aucune tombe de ces supposées victimes. C’est vrai qu’il nous est plus difficile de vérifier la mort d’un étranger, que de vérifier celle d’un ivoirien, qui aurait des parents à interroger dans la zone » indique une de nos sources.« Ils tuent 2 ou 3 personnes, les autochtones fuient vers la ville et ils occupent leurs terres. C’est ça la tactique avec la complicité des FRCI, eux-mêmes à plus de 98% originaires du nord de ce pays. Sinon, comment expliquer que malgré la militarisation de la région, les Oubis, propriétaires terriens de Tai depuis plusieurs siècles, soient tous partis ou en minorité dans la région ? Les allogènes font presque les 2/3 des habitants d’un village comme Sakré. Seulement 200 Oubis y sont restés, la peur au ventre. L’armée FRCI n’est pas républicaine, sans quoi, beaucoup de problèmes seraient réglés dans cette région. Cette terreur est maintenue en faisant passer des innocents Oubis, pour des miliciens ou pour les assaillants, les trimbalant devant les cameras du monde entier. Le chef de village de Nigré avait assisté à l’assassinat de cinq de ses enfants dans les mêmes conditions. Tout cela contribue à la peur. C’est une vraie colonisation qui ne dit pas son nom, dans cette région. La délégation du conseil de sécurité, récemment en visite l’a d’ailleurs rappelé à Alassane Ouattara. La situation peut exploser. » Voici les propos très alarmants d’un responsable de l’administration que ce site a pu joindre dans la région de Tai.


 UN WATCH IVORY COAST

Le ci dessus non seulement dément les accusations du régime Ouattara et son  ONG Human Right Watch ainsi que les pseudo medias mais expose a la fois le nazisme du slogan  Solution (finale) de Mr Alassane  Dramane Ouattara....Ce qui n'est que l'exécution du plan d'action de la mafia du nouvel ordre mondial et leur branche de multinationales qui contrôlent l'ONU et le reste des institutions internationales. On a qu'a ,mettre le tout ensemble(rumeur de cout d'etat et de destabilisation, arrestation du ministre de la défense du gouvernement légal de Cote D'ivoire, l'attaque contres les casque bleues Nigeriens alors que la France s'apprete a renforcer ses relations avec le Niger, les terres qui n'ont pas de propriétaires Ivoiriens mais plutôt étrangers etc) et vous verrez c'est gros comme un hangar de Boeing le montage des pro- Gbagbo et de mercenaires Libériens. Si les milices dites pro-Gbagbo ne sont pas les auteurs des meurtres de Sakré, survenus dans la nuit du 24 au mercredi 25 avril. 2012.ils ne le sont certaiment pas dans l'embuscade qui fait une quinzaine de morts dont 7 soldats Nigeriens de l'ONU. .
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Dans la soirée du vendredi 8 juin 2012, une dépêche de l’Agence France Presse (AFP) a alerté le monde entier sur la mort de 7 casques bleus de l’ONUCI dans l’Ouest ivoirien, des suites d’une attaque armée.
 
Aussitôt informé, nous avons activé nos réseaux dans les sillages de l’ONUCI et du pouvoir Ouattara. Car dans de telles circonstances, aller au contact de la population riveraine qui n’a fait qu’entendre les tirs à l’arme lourde, ne permet pas d’avoir la vraie information.
 
De sources bien concordantes, il nous est revenu que l’Ouest ivoirien dont le bouclage a commencé avant le départ de Monsieur Choi de la Côte d’Ivoire avec la création de 9 camps de l’ONUCI, trois grands camps FRCI et plusieurs patrouilles mixtes ONUCI-Licorne-FRCI est une zone très militarisée qui faisait la fierté du Gouvernement Ouattara. Ce dernier d’ailleurs n’a pas hésité à communiquer abondamment dans le mois de mai 2012, autour de cet exploit militaire en faisant écrire dans les colonnes des organes de presse qui lui sont affiliés que « l’Ouest de la Côte d’Ivoire est bouclé ».
 
Mais à côté des forces officielles pro-Ouattara que sont l’ONUCI, la Licorne et les FRCI, il y a environ 3 000 mercenaires burkinabés, surarmés qui ratissent la région sous les ordres d’Amandé Ourémi, un commandant mercenaire burkinabè travaillant en étroite collaboration avec l’ONUCI et les FRCI.
 
Il y a à peine deux semaines, les hommes d’Amandé Ourémi, par voie diplomatique burkinabè et par voie de presse, ont exprimé leur colère vis-à-vis du régime Ouattara qui les a recrutés pour combattre aux côtés de ses alliés militaires, avec en prime, la promesse de la somme de 5 millions de francs CFA pour chacun des combattants.
 
Mais depuis la défaite militaire du Président GBAGBO face à la coalition armée qui attaqué la Côte d’Ivoire, les mercenaires burkinabès opérant dans l’Ouest ivoirien n’ont reçu aucun centime. Pour réclamer leurs dus, ils ont saisi aussi bien l’Ambassadeur de Ouattara à Ouagadougou que le chef de la diplomatie burkinabè pour en dire un mot au tenant du pouvoir à Abidjan. Malgré toute leur insistance, c’est un silence et parfois des promesses vagues qui leur reviennent.
 
Se sentant floués, les hommes d’Amandé Ourémi ont grossi récemment en nombre en recevant les autres combattants rentrés au Burkina Faso afin que la loi du nombre jouant, ils puissent exercer une pression sur le régime Ouattara. Mais l’ONUCI qui s’est muée en armée ivoirienne pro-Ouattara n’entend pas favoriser une fragilisation de la situation dans l’Ouest du fait de leurs alliés mercenaires. Une vive tension est donc née entre le Commandement de l’ONUCI et les mercenaires burkinabès épaulés de quelques Dozo maliens.
 
C’est le résultat de cette tension qui a conduit, selon notre source, à l’embuscade meurtrière d’hier vendredi 8 juin. Cette attaque a été menée comme le confirme notre source avec des moyens militaires très lourds qui ne peuvent être camouflés et transportés par une milice discrète qui en général opère avec des hommes à pied.
 
A la vérité, au moment où nous mettons sous presse ces premières informations, le Commandement de l’ONUCI et le régime Ouattara savent d’où vient l’attaque et ils connaissent les causes financières de cette attaque. Mais leurs stratèges militaires ont demandé que l’accusation soit jetée sur le Président GBAGBO et les Ivoiriens qui se reconnaissent en lui.
 
Plus grave, l’ONUCI savait que cette attaque allait survenir car l’échec des discussions avec les mercenaires burkinabès ouvrait la voie aux règlements de compte entre alliés d’hier.
 
C’est en prévision de cette attaque qui se révélait imminente que dans la précipitation, l’ONG terroriste Human Rights Watch a pondu son récent rapport pour mettre en cause des libériens pro-GBAGBO qui seraient en préparation pour lancer des attaques bientôt.
 
C’est donc le lieu d’appeler l’attention de l’opinion internationale sur la manipulation de l’information qui se poursuit au détriment du Président GBAGBO et de l’immense majorité des ivoiriens qui se reconnaissent dans son combat démocratique. Que cette opinion sache que l’Ouest ivoirien est entièrement sous contrôle de l’ONUCI, de la Licorne et des FRCI. Le niveau de militarisation de la zone ne laisse aucune possibilité à quelque mouvement armé non agréé d’avoir une activité agressive. Les attaques qui ont lieu sont l’œuvre des personnes dûment autorisées à se promener dans la zone avec des moyens militaires lourds.
 
Pour la Révolution Permanente, la conviction est aujourd’hui établie que Human Rights Watch se comporte comme une nébuleuse terroriste dont la fonction est de manipuler l’opinion pour le compte des réseaux mafieux qui l’ont créée et qui financent son activisme terroriste.
 
Nous appelons donc toute la Côte d’Ivoire et la Résistance Patriotique a dénoncer par toutes les voies de communication et par tous les moyens, le mensonge et la manipulation de l’information qui se mettent de nouveau en place pour vider les terres de l’Ouest ivoirien de sa population autochtone afin de préparer une invasion pérenne et une occupation définitive de ces terres agricoles particulièrement riches.
 
Le peuple digne de Côte d’Ivoire ne doit pas accepter cette entreprise inhumaine et terroriste. JAMAIS !
 
Que Dieu protège la Côte d’Ivoire et les peuples autochtones en danger dans l’Ouest ivoirien ! 
 
A Très bientôt.

Hassane Magued

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