Saturday 7 May 2011

U.N. probing reports of attack on Ivory Coast church

ABIDJAN / GENÈVE | ven. 6 mai 2011 10:37 pm CEST
(Reuters) - Côte d'Ivoire des troupes qui cherchent à arrondir miliciens à Abidjan cette semaine peut avoir attaqué un logement église de 2500 personnes déplacées, les Nations Unies, a déclaré vendredi, ajoutant qu'il était également de vérifier les rapports d'un charnier à proximité.

L'enquête pourrait ajouter à la pression sur le nouveau président Alassane Ouattara, dont les forces ont été accusés de viols, de pillages et d'exécutions au cours d'une offensive en Mars et Avril pour évincer l'ancien leader Laurent Gbagbo.

"Notre personnel en Côte d'Ivoire sont rapports d'enquête sur les violations des droits de l'homme dans le district de Yopougon à Abidjan aurait commis tant par le FRCI (armée ivoirienne) et les miliciens pro-Gbagbo qui ont été tenue dans ce district," porte-parole de l'ONU des droits humains Rupert Colville, lors d'une conférence de nouvelles à Genève.

«Ils sont particulièrement regardant une attaque contre une église baptiste prétendument par les forces FRCI plus tôt dans la semaine, dit-il, sans donner de détails.

Environ 2.500 personnes déplacées avaient cherché refuge dans l'église un autre fonctionnaire de l'ONU, ajoutant que 54 personnes avaient été emmenés de l'église et fournitures médicales d'urgence qui y sont stockées ont été pillés.

Colville dit que le personnel des Nations unies enquêtaient sur des rapports d'un charnier dans le quartier, où des hommes armés pro-Gbagbo a fait une dernière cage après Gbagbo a été arrêté le mois dernier.

Un porte-parole des forces armées de Côte-d'Ivoire a déclaré jeudi sur les troupes avaient repris une base navale à partir des restes de la milice, en leur laissant pas de place pour lancer des attaques, et d'éliminer la dernière poche de résistance majeure.

Des dizaines de corps

La Croix-Rouge a déclaré cette semaine son personnel avait récupéré des dizaines de corps de Yopougon de personnes tuées dans récents et anciens combats là, et avait également découvert un domaine dans lequel les dires des habitants jusqu'à 30 corps avaient été enterrés.

L'Organisation des Nations Unies n'a pas confirmé ce fut le charnier.

Gbagbo, qui avait dirigé le pays depuis 2000, a refusé de démissionner après une élection présidentielle en Novembre où il a été jugé d'avoir perdu, entraînant des conflits tous azimuts dans lesquelles des milliers ont été tuées et plus d'un million de personnes déplacées.

Ouattara a lancé une enquête sur Gbagbo et son entourage sur les allégations de violations des droits humains pendant le conflit, qui a rouvert les plaies d'une guerre civile en 2002 et 2003, alors même que ses propres forces, une collection hétéroclite d'anciens rebelles, ont été accusé par les groupes des droits de leurs propres abus.

Trois avocats basé à Paris, représentant Gbagbo a déclaré qu'ils cherchaient à entrer Côte-d'Ivoire, vendredi, pour assister à l'audience prévue Gbagbo dans la ville de Korhogo, mais avait été contraint de rentrer en France quand deux d'entre eux avaient refusé de leur visa à l'aéroport d'Abidjan.

"Les trois avocats ont été refoulés dans des circonstances qui ressemblait à un piège", un communiqué publié par Paris cabinet d'avocat Bourthoumieux dit au nom des trois avocats, Jacques Verges, Lucie Bourthoumieux et Marcel Ceccaldi.

Côte-d'Ivoire, pays du monde le plus grand producteur de cacao, a du mal à relancer son économie dévastée par les conflits.

Les exportations de cacao devaient reprendre ce week-end après un arrêt de plus de trois mois et le ministre de l'agriculture du pays agissant dit qu'il ne s'attendait pas à la crise ont réduit la récolte de cette année.

(Reportage par Stephanie Nebehay à Genève, John Mark, à Dakar, et Ange Aboa à Abidjan, édité par Andrew Dobbie, écrit par Richard Valdmanis)

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