Saturday, 21 May 2011

CÔTE D'IVOIRE: Preuve d'une liquidation programmée



samedi 21 mai 2011

CÔTE D'IVOIRE: Preuve d'une liquidation programmée

ADO, le liquidateur principal de la CI
Tous les ivoiriens se souviennent des années de gouvernance de Ouattara sous le règne de FHB agonisant. Toutes ces privatisations, les marchés publiques nationaux au gré à gré, les réductions de salaires, les salaires à double vitesse (différents salaires pour le même emploi chez le même employeur (l'Etat), les licenciements et autres chômages techniques, les déflations de travailleurs du publique,... la liquidation totale de l'Etat. Nous sentons à nouveau aujourd'hui, les prémices d'une liquidation programmée de la Côte d'Ivoire depuis la prise du pouvoir de Ouattara, le 11 avril 2011, après le coup d'état opéré par les forces françaises licorne contre Laurent Gbagbo, élu par le peuple ivoirien, le 28 novembre 2010.

Revoilà les marchés de dupes
En effet, en plus de sa sécurité qu’il confie à l’armée française à 21 milliards cfa par an, un autre fait que le contribuable ivoirien ignore, est la gratuité de la fourniture de l’électricité au Burkina Faso.Désormais le pays des hommes intègres n’aura plus à débourser un sou.
En outre, un ressortissant de ce pays dirige le port de San Pedro. Et cela pour bons et loyaux services. Autrement dit, c’est la part du Burkina Faso dans le partage du gâteau ivoire.

Revoilà les reductions de salaires et autres prélèvements abusifs
Par ailleurs, le salaire des fonctionnaires ivoiriens est menacé pour compenser les déficits ainsi créés. En effet, Alassane Ouattara veut diminuer leur salaire pour dit-on  la reconstruction du pays. Puisque ses rebelles et ses parrains de l’extérieur ont aidé à complètement détruire la Côte d’Ivoire. Il faut bien faire supporter le poids de la reconstruction par les contribuables ivoiriens. Et ce sont les fonctionnaires qui doivent en payer le lourd tribu.
La question que l’on se pose, est pourquoi les fonctionnaires ?
N'appartient-il pas au putschiste Alassane Ouattara et ses parrains de le faire? 
Que la France, les Etats-Unis, les Nations Unies, l’Union européenne, l’Union africaine, la Cedeao mettent donc la main à la poche pour reconstruire tout ce chantier qui va être confié aux entreprises occidentales.

Revoilà la privatisation et la recolonisation
Depuis la prise du pouvoir par la force, par Dramane Ouattara, c’est à une résurrection du système colonial qu’il est donné  aux Ivoiriens de voir. Au niveau de l’Administration, un proche de Ouattara révèle ceci:« Désormais, l’administration sera assistée par des experts européens». Et d’ajouter sans sourciller, que pour parvenir à un tel objectif, le Président Ouattara a fait appel à plus de mille fonctionnaires de nationalité française et américaine ayant pour mission d’évaluer les fonctionnaires Ivoiriens et qui seront payés par l’Etat de Côte d’Ivoire. Donc payés sur le dos du contribuable ivoirien. D’autre part, ajoute notre source, chaque Directeur général des régies financières sera assisté par un Français.
Ouattara lui-même donnera l’exemple. Car dira-t-il, « Nous savons que l’ancien Directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Michel Camdessus a déjà été contacté pour assister Ouattara en tant que Conseiller spécial à la Présidence. C’est lui qui déterminera l’ordre du jour concernant les différents conseils de Ministres, en relation avec l’Elysée. C’est encore lui qui
approuvera si oui ou non, la Côte d’Ivoire doit contracter avec d’autres pays en
matière d’exploitation des richesses naturelles du pays. Sur le plan militaire,
c’est le retour sans condition du 43è BIMA. Une armée qui servira d’avant-garde à toutes velléités d’attaques extérieures ou internes 
». En un mot comme en mille, c’est le retour au système colonial en côte d’Ivoire.

L'intérêt du peuple
Tout ceci contraste terriblement avec un Laurent Gbagbo, jaloux de la souveraineté et l'indépendance véritable de son pays. Ce dernier affirmait dans sa dernière interview,  « S'il y a une chose que je ne supporte pas, c'est la soumission. Surtout quand elle engage la vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j'en paie le prix. Je n’accepterai jamais que mon pays soit soumis pour l’intérêt d’un autre peuple ou d’une autre Nation fut elle la France »
Ouattara lui ne se gène pas outre mesure de vendre le pays qu’il dit être le sien. 
Pauvre Côte d'Ivoire, tu devras encore patienter pour ta libération, ton indépendance véritable des puissances impérialistes occidentales. Mais sois sûre que ce jour viendra. Et ce jour là...

Friday, 20 May 2011

Le seul légal et légitime président de la république de Cote D'Ivoire élu par le peuple et investi par le conseil constitutionnel...

A quelques heures du simulsacre


A quelques heures du simulsacre !

Curieusement, les médias francophones sont muets ce matin : honte ou tout simplement incertitude face aux menaces des fidèles de Laurent Gbagbo qui ont promis de gâter la cérémonie ? En tout cas, on assiste à la mise en place d’un gigantesque cordon de sécurité pour empêcher les fauteurs de trouble de se manifester !

Le président Gbagbo a été transféré en dehors de Korhogo pour éviter les tentatives de le libérer; on fait venir des foules de burkinabés pour acclamer Ouattara  1er,  Ado-la France, dit ADOLF, en référence à l'autre, de sinistre mémoire pour les Occidentaux. Les deux Adolf ont ceci en commun, qu'ils ont précipité, hier l'Occident, aujourd’hui la Côte d'Ivoire et toute l'Afrique, dans le chaos et la ruine pour de nombreuses années; c'est pour cela que la situation est critique.

Avec l'installation du “préfet” de Côte d'ivoire, son installation par la force, au prix du sang et des larmes de milliers d’innocents, les puissances de l'axe "démocratique et républicain" Sarkozy-Obama mettent en place une dictature où les droits élémentaires sont bafoués, où les Ivoiriens –et les Africains à leur suite- ne sont que des travailleurs ”bon marché”, réquisitionnés pour faire sortir de leur pays toutes ces richesses dont l'Occident exsangue pourra continuer à se gaver sans modifier son train de vie : celui qui consiste à maintenir dans la pauvreté un nombre croissant de Français et d’Américains, tandis que les nantis se partagent des parts toujours plus grosses du gâteau !

Ce qui arrive à la Côte d'Ivoire aujourd'hui est la répétition générale du sort de tous les pays dits du tiers-monde sur lesquels l'occident à jeté son dévolu !  Et pour beaucoup d'Africains, accepter aujourd'hui passivement cette inféodation de la Côte d'Ivoire, c'est accepter toutes les mises à genoux à venir, par de vraies fausses élections; c'est l'assurance d'avoir des pouvoirs corrompus entièrement aux ordres de l'étranger; c'est accepter que toutes les richesses soient pillées et qu'aucun mieux être ne soit donné en échangesi ce n'est des cacahuètes, un peu de scolarité, de santé, des plans d'urgence, bref, faire semblant pour les occidentaux d'être généreux et plein de bons plans pour aider les africains à devenir soi-disant autonomes. Avec le président Gbagbo cela en prenait le chemin, mais justement la France, qui n'a pas de pétrole mais des idées, aime les idées au point d'en revendiquer le monopole : le sol ivoirien, le sous-sol et les fonds marins regorgent de richesses, et le président Gbagbo et les ivoiriens fourmillaient d'idées, de projets; mais voilà ils pensaient si bien pouvoir se passer de la France et de l'Amérique qu’ils l’ont dit trop fort ! Et cela est intolérable pour la mentalité occidentale pourrie qui est la nôtre! Le partage, un mot qui est dans toutes les bouches, n'est en fait qu'un synonyme de pillage, pillage éhonté, sans états d'âme, refus des responsabilités, refus d'assumer tout simplement son humanité pour préférer la bestialité sous toutes ses formes , et dans ce domaine l'histoire nous a appris que "plus jamais ça" voulait dire, "attendons quelques années et remettons cela à la puissance x ! " Plus c'est gros, mieux ça passe ! C'est ce que nous devrions nous apprêter à vivre demain : l'Installation en grande pompe d'un petit dictateur qui n'est rien sans son mentor, et qui va mettre aux arrêts tout un peuple après l'avoir humilié, décapité en la personne de son souverain légitime, broyé, ensanglanté, et qui aujourd'hui ose parler de pardon, de réconciliation, de coopération ! De qui se moque-t-on?

Pour beaucoup d'Ivoiriens, chrétiens et musulmans, la patience de Dieu au regard de l'histoire, est certainement infinie, tant qu'il ne se mêle pas d'en changer le cours, mais voilà, avec l'affaire DSK, beaucoup de gens -et pas que des sots- voient que la patience d'En Haut a atteint ses limites : on commence à voir apparaître de tous petits grains de sable dans les rouages, si petits que l'on préfère les ignorer, chercher à qui profite le crime dans l'affaire DSK, par exemple, salir, calomnier, se persuader que le mal n'a qu'un visage, celui de l'autre!  En Côte d'ivoire aussi, le tribunal n'est prévu que pour Gbagbo et son clan, le “dictateur” Gbagbo sur lequel on peut rejeter tous les crimes dont la France, la Licorne et les ouattaristes sont comptables depuis des années, et singulièrement depuis ces 40 derniers jours que Gbagbo est tombé!

Gbagbo, humilié, abaissé au nom d'une foi qui permet d'encaisser tous les coups sans riposter, de croire que l'ennemi est un ami en devenir, que la prière et la non intervention face à la menace vont transformer l'ennemi ! Oui la faute de Gbagbo a été de croire en l'homme, en sa bonté première; de croire aux paroles données, surtout à des occidentaux qui ont semble-t-il la même foi, les mêmes valeurs!

"Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, tends-lui aussi l'autre" : ces mots tirés du sermon sur la montagne, il faut bien les comprendre. Pour ceux qui croient que cette parole veut les entraîner dans un interminable punching ball style "peace and love”, je me permettrai de la revisiter dans une perspective juive, où il s’agit d’identifier l'ennemi et de lui donner une seconde chance de modifier sa trajectoire, avant l'anathème et le jugement : joue droite, puis joue gauche, et ça s'arrête là ! Il n'y a pas de troisième joue, après vient le temps du jugement , et ce jugement est déjà une réalité dans la mesure ou les économies occidentales sont en faillite ! Maquiller cette réalité n'empêchera pas l'Histoire de s'inviter dans l'histoire de la France et des États-Unis, pour que justice soit rendue à la Côte d'Ivoire et à tous les peuples martyrs des plans sordides échafaudés sur leur dos, pour leur spoliation.

En attendant le grand déballage, je me réjouis de tous les grains de sable à venir, et j'en vois déja quelques uns se profiler à l'aube de cette prise en main du destin de la Côte d'ivoire et de l'Afrique par la France, l’Onu  et autres Prédateurs !

Shlomit Abel

LE PR. GBAGBO BIEN TRAITÉ?- SÉNATEUR INHOFE « CE N’EST PAS VRAI »


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C’est à une véritable passe d’armes que se sont livrés jeudi au Sénat, les autorités américaines sur les conditions d’incarcération du Président Gbagbo, capturé le 11 avril dernier par les forces françaises Licorne.
C’était lors de l’audition de la Commission des Affaires étrangères du Sénat américain sur les événements en Côte d’Ivoire ayant abouti au coup d’Etat contre le Président Gbagbo, et sa déportation dans des conditions inhumaines à Korhogo, au Nord du pays.
William Fitzgerald, porte-parole du département d’Etat et proche de Ouattara, qui affirmait que Laurent Gbagbo était "en bonne santé et bien traité" a vite été démenti par le Sénateur Inhofe.
"Il est en bonne santé et bien traité", a dit M. Firzgerald devant la commission des Affaires étrangères du Sénat.
Il n’en fallait pas plus pour que le Sénateur républicain James Inhofe sorte de ses gongs. "Ce n`est pas vrai", a-t-il dit avant de montrer des photos du couple Gbagbo après leur arrestation. "Regardez cette photo, il a été frappé sur le côté du visage", a-t-il dit en montrant une photo de Laurent Gbagbo. Montrant ensuite une photo de Mme Gbagbo entourée de soldats du président Ouattara la tenant comme un trophée, il a lancé: "faites preuve d`imagination, vous savez ce qui s`est passé".
La vidéo ci-dessous vous retrace l'ambiance de cette audition, hier au sénat américain.

L’un des points de convergence au cours de cette audition était que les Etats-Unis veilleraient à ce que les violations des droits de l`homme soient punies des deux côtés. Autrement dit, les massacres et épurations ethniques des FRCI d’Alassane Ouattara seraient passés au crible.
« Nous allons faire en sorte que cette promesse soit tenue et nous assurer qu`il n`y aura pas d`impunité", a affirmé M. Fitzgerald.
L’insécurité a également été au cœur des auditions de la Commission sénatoriale. En effet M. Fitzgerald a déploré l`insécurité qui continuait de sévir en Côte d`Ivoire malgré la fin des hostilités après le kidnapping de Laurent Gbagbo et de son épouse le 11 avril.
Il a ajouté que les auteurs de violation des droits de l`homme devraient être traduits en justice.
Didier Gossiho
Correspondant permanent aux USA

Thursday, 19 May 2011

L'intronisation du grand maître de la loge Ouest Africaine aura t -elle lieu ?.

Tito Berlusco
INVESTITURE DE OUATTARA SAMEDI A YAMOUSSOUKRO : au menu, du champagne et des larmes de sang.

Source : Telediaspora.net : Dernière Mise à jour : 20/05/2011 (Auteur : autres)
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Une investiture a-t-elle jamais été aussi médiatisée en Afrique ? Y’a-t-il jamais eu autant de sommités à une investiture en Afrique ? On ne parle plus que de ça : Les médias nationaux et internationaux. Yamoussoukro est en fièvre, Abidjan est en transe ! Depuis plusieurs semaines , des travaux herculéens ont cours dans la capitale politique pour préparer l’évènement : curage de caniveaux, désinsectisation de la ville au lac, peinture de trottoirs... . Même Abidjan qui n’aura pas l’honneur d’abriter ce moment ne devrait pas être jalouse outre mesure. La perle des lagunes se pare de ses attributs des grands jours : des drapeaux qui flottent sur le boulevard Giscard d’Estaing, des coups de balais quasi-quotidiens, de grandes affiches dans les rues qui annoncent l’évènement… La liste des invités attendus et leurs qualités font pâlir d’envie le premier noir à la maison blanche. En tête bien évidemment sa « Seigneurie très guerrière » Nicolas Sarkozy, le grand guerrier dont la main puissante à défait le nœud de la forteresse de Laurent GBAGBO contre la clôture de laquelle partaient s’écraser telles des bulles d’eau la horde de combattants de Ouattara. Sarkozy est donc annoncé. Avec lui, « qui pouvait en douter ? », le Samouraï sud-coréen, « Maître » BanKi Moon, qui a dû enfiler son Kimono des grands combats pour la grande bataille contre Laurent GBAGBO. Pourquoi autant de fastes, autant de solennités pour l’investiture de Ouattara alors que cet évènement vient juste après celui de la commémoration des morts que Ouattara a lui même décrété ? Ces milliers de morts que Ouattara a enjambés pour en arriver là ? Les larmes ont-elles séché aussi vite au point qu’on n’y mette pas de la mesure en respect des morts ? Pourquoi ce gala des vainqueurs de la guerre maintenant alors que les ivoiriens sont sur les routes pour l’exile par milliers, ils vivotent dans les camps de réfugiés, le pain quotidien est un casse-tête, leur sécurité est problématique… La situation en Côte d’Ivoire était nettement meilleure, mais Laurent GBAGBO avait préféré organiser une modeste fête du cinquantenaire. Il disait « comme nous sommes en crise, nous allons faire quelque chose de symbolique. Après les élections, quand on va sortir de la crise celui qui sera là pourra organiser une fête grandiose… » .Et si Ouattara s’abreuvait dans cette sagesse, juste pour le respect des ivoiriens qui pleurent, qui meurent encore ; et organisait quelque chose de modeste au lieu de cette cérémonie ostentatoire?

Ouattara encore et toujours en quête de légitimité

Ce qui se déroule sous nos yeux s’appelle un « blanchissement de pouvoir ». Tout comme l’indélicat comptable qui, par une gymnastique d’opérations comptables, efface les traces de fonds acquis illégalement pour les insérer dans le circuit normal, Ouattara ploie encore sous le poids de l’endémique obsession de donner à son pouvoir tiré des décombres de la Côte d’Ivoire un visage normal. Il avait prêté serment sur une feuille de copie d’écolier pour l’expédier au conseil constitutionnel. Cela ne l’a pas guéri de sa crise d’Illégalité. Il s’est réfugié derrière la certification de Choi Young Jin, le mal à survécu. Après avoir été conduit au palais sous une escorte hors-norme dans les chars et bombardiers français et onusiens, il a appelé au secours l’institution de Paul Yao N’dré qu’il avait vulgarisée au profit de la certification de Choi, pour se donner un visage légal. Cette cérémonie d’investiture avec démesure rentre justement dans ce besoin de blanchir son pouvoir. Ses alliés de la guerre en Côte d’Ivoire le savent si bien qu’ils ne peuvent manquer de l’aider à apporter ce coup de pinceau qui puisse obstruer un tant soit peu le sang de Duékoué qui pleure toujours. Voilà pourquoi Sarkozy qui a toujours conditionné sa visite au pouvoir de Laurent GBAGBO par les moindres détails démocratiques pourra survoler Duékoué la martyre de Ouattara avec ses 800 morts qui débordent des fosses communes pour effectuer sa première visite au pays d’Houphouet Boigny. Voila pourquoi Banki Moon pourra supporter la puanteur du sang mal séché de Duékoué pour venir investir Ouattara. Voilà pourquoi Wade, Compaoré et autres Goodluck Jonathan se faufileront entre les corps en putréfaction pour venir à l’investiture de Ouattara. Voilà pourquoi, sont invités une trentaine d’artistes dont les louanges à Ouattara pourront étouffer pour l’occasion les cris de détresse des 30 000 réfugiés de la paroisse du père Cyprien à Duékoué et les hurlements des gens qui tombent encore sous les balles des rebelles à l’ouest.
Mais tout cela, c’est presque peine perdue ! Car l’image qu’on retiendra de l’arrivée au pouvoir de Ouattara, ce n’est point celle des longues files d’attente devant les bureaux de vote le 28 novembre 2010, mais celle des bombes qui pleuvaient sur Abidjan et d’un Laurent GABGBO arrêté par les forces françaises et livré aux rebelles de Ouattara pour qu’il foule le palais d’Abidjan. Les artifices ne pourront point gommer cette image .Ouattara n’est pas président en tant que vainqueur d’élections, mais vainqueur d’une guerre.Voilà ce que l'histoire écrira

UN WATCH IVORY COAST: Crise ivoirienne : La partialité des médias frança...

UN WATCH IVORY COAST: Crise ivoirienne : La partialité des médias frança...: "Crise ivoirienne : La partialité des médias français dénoncée Publié le7 janvier 2011 par directscoop 3 PARIS – « Il y a une certaine uni..."

Crise ivoirienne : La partialité des médias français dénoncée


Crise ivoirienne : La partialité des médias français dénoncée

Publié le7 janvier 2011 pardirectscoop

PARIS – « Il y a une certaine uniformisation très curieuse de certains médias français, une sorte de formatage de l’opinion publique »,  a dénoncé sur les ondes de Kernews, le politologue Michel Galy, chercheur au Centre sur les conflits et animateurs de la revue «Culture et conflits».
Selon Galy, « pendant qu’Abidjan, l’opposant Alassane Ouattara, perdant des élections du 28 novembre et Guillaume Soro, chef de la rébellion des Forces Nouvelles sont enfermés à l’Hôtel du Golf où ils sont de plus en plus isolés., à l’international, des médias à l’image de France 24 ou Radio France Internationale, qui dépendent du Quai d’Orsay et donc un peu de l’Elysée présentent une autre réalité des faits. »
Le politologue révèle aussi qu’ il y a une certaine position très dominante liée à cet effet miroir entre la France et la Côte d’Ivoire obligeant certains journalistes des médias français à véhiculer des informations dictées par le Quay d’Orsay.
Depuis la réélection du Président Laurent Gbagbo avec 51,45%, la France tente d’imposer sans succès son adversaire Alassane Ouattara à travers les médias internationaux. Ils n’ont pas hésité dans cette tentative à donner Alassane, vainqueur sur la base des résultats provisoires donné par la CEI alors que le Conseil Constitutionnel n’avait pas encore donné son verdict.
Le CNCA (Commission Nationale de Communication Audio-visuelle), organisme de régulation de la communication et de l’audio-visuel en Côte d’Ivoire, à même suspendu ces chaînes pour avoir violé les règles élémentaires de l’éthique et la déontologie du métier de journalisme