Thursday 14 November 2013

"Dictateur" passé au scanner

Photo: CPI : Le procureur a jusqu'au 15 novembre 2013 pour apporter des preuves supplémentaires sur l'affaire Gbagbo. Entretemps, quelqu'un sur lequel une Accusation soutenue par la France, les USA et l'ONU, n'a pas obtenu de preuves suffisantes en un an et demi fait quoi ? La liberté provisoire s'impose. #freegbagbo

Théophile Kouamouo
Selon une recherche universitaire menée par Phil Howard la mort d'un dirigeant autoritaire signifie généralement plus de chaos et de souffrance pour le peuple, qu'il a  dirigé. Une analyse  de la recherche montre  plutôt que le problème en réalité réside d'abord dans le terme "dictateur" très souvent définis par  Medias biaisés exercant pour les gouvernements occidentaux ou autres institutions opposées à la dite "dictature". Ceci nous amène à une des autres raisons pour lesquelles la mort des dirigeants diabolisés en 
général liée à des assassinats orchestrés par les gouvernements occidentaux (derrière les fausses allégations du régime dictatorial) est suivie par une situation chaotique. Le régime est alors remplacé par un autre qui  se trouve être une vraie dictature (puisque pas démocratiquement élu par la majorité du peuple) soutenu par la communauté dite internationale. Ce n'est pas toujours le cas, mais c'est le scénario habituel.  La Côte d'Ivoire et la Libye (Khadafi n'était pas un ange mais  n'était pas ce que les médias ont dit à son sujet avant son assassinat) sont des exemples typiques . Le cas de Laurent Gbagbo actuellement incarcérés illégalement malgré le fait qu'il n'y ait aucune preuve concernant les allégations contre lui expose la réalité du terme dictateur  tel que défini par les gouvernements de l'Ouest et leurs médias. En Côte d'ivoire côte  le père de la démocratie SEM Laurent Gbagbo a été démocratiquement élu par le peuple en 2010 puis renversé par la « communauté internationale » qui a soutenu et continue de soutenir Ouattara l'agent Burkinabé (fait le candidat exceptionnel par Gbagbo sur un décret présidentiel) du FMI qui a perdu l'élection malgré la fraude massive dans son « bastion » sous controle de sa bande rebelle armeé au Nord. Laurent Gbagbo a reçu le prix Martin Luther King en 2010 pour ses efforts a établir la paix dans un pays divisé par la guerre ( La rébellion armée de Ouattara, soutenue par les gouvernements occidentaux ont attaqué le pays en 2002). Le scanning de la liste des dictateurs 2013 ne démontre qu'une demi vérité ou Ouattara encore pleinement soutenu par la « communauté internationale » qui  l'a imposé
aux ivoiriens par un putsch est classé 15e aux rangs des dictateur mais il n'a jamais été cité ainsi par un seul gouvernement occidental.  Jamais non plus le terme  dictature  n'a été utilisée pour définir un seul régime occidental depuis l'ère d'HitlerMussolini et Franco  bien qu'il soit claire selon la définition que la plupart des gouvernements dans le monde soi-disant civilisé sont dirigés par des multinationales dictatoriales. Et l'une des preuves est la dictature dans les médias biaisés relayant  des nouvelles fabriqués(au compte des multinationales)  imposées au peuple comme vérité. Et cela sans mentionner le fait que les mêmes corporocrates (le nouvel ordre mondial  dirigé par les multinationales ) utilisent l'ONUl'OTAN pour imposer leur diktat aux pays qu'ils veulent  annexer et s'approprier les ressources. Le terme dictateur est simplement inversé pour qualifier ceux qui refusent de s'aligner ou se soumettre a la dictature du nouvel ordre mondial comme c'est actuellement le cas en Côte d'ivoire.

a suivre......
president_alassane_ouattara


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