Cuisine exotique Française avec un service traiteur internationale. Cette recette a pour ingrédients le survole du monde geopolitique On commencera ainsi en Haiti, et ce n'est pas un hasard car ce pays première nation Afro souveraine hors du continent redevenu le premier état a perdre son indépendance depuis la présence sur son territoire de l'ONU(le service traiteur par excellence) est une ancienne colonie gauloise avec les liens qu'on lui connaît de l'Afrique Occidental Française.
Pour ceux qui croient que l'ONU et toute la prétendue communauté internationale soient digne de confiance checkez le simulacre électoral en Haït qui a fait la honte aux US et de l'ONU:Washington ne peut pas conférer une légitimité à cette élection viciée qui n'apporte rien pour les Haïtiens vivant sous des bâches, menacée par le choléra
Les soldats de l'ONU du Sri Lanka au centre de tabulation élection haïtienne à Port-au-Prince. Les élections terminée dans la confusion, le dimanche, 12 des 18 candidats à la présidentielle ont dénoncé «une fraude massive», bien que les observateurs internationaux insistent pour que le résultat final soient maintenue. (Le scenario des elections 2010 en Cote Divoire) Photo: Eduardo Munoz / ReutersL'élection en Haïti montre, une fois de plus, comment les normes bas de Washington sont pour la démocratie dans les pays qu'ils veulent contrôler politiquement. Et il ne fait aucun doute qui est en charge là-bas. Il ya un gouvernement, pour être sûr, mais depuis que le gouvernement élu en 2004 a été renversé, et plus encore depuis le tremblement de terre, c'est la «communauté internationale» qui appelle les coups de feu - Code d'Hillary Clinton au département d'état américain.L'élection était une farce, pour commencer, une fois que le SCEP non indépendant (Conseil Electoral Provisoire) a décidé d'exclure le plus grand parti politique du pays de participer, avec d'autres parties: Fanmi Lavalas est le parti d'Haïti leader politique le plus populaire, Jean- Bertrand Aristide. Il a remporté toutes les élections qu'il a contesté. Aristide lui-même reste en exil - l'impossibilité de rentrer depuis le renversement parrainée par son gouvernement en 2004.Imaginez la tenue d'une élection aux Etats-Unis avec les deux partis démocrate et républicain interdit de participer. Si l'on regarde d'autres élections troublées dans le monde - l'Iran en 2009, ou plus récemment en Afghanistan - Haïti est encore moins légitime. Il est peut-être plus comparable à la récente élection en Birmanie.(moi je dirais que les élections en Cote D'ivoire ont été la pire en ce qui concerne les fraudes)Mais le gouvernement des États-Unis payé pour cette élection, et était déterminé à aller de l'avant et obtenir les suspects habituels de l'approuver. Les plaidoiries de 45 membres démocrates du Congrès, qui ont envoyé une lettre à Hillary Clinton le 7 Octobre demandant une vraie élection avec tous les partis politiques compris, ont été ignorés. Donc, aussi, étaient les objections du président Obama mentor politique étrangère républicain, le sénateur Richard Lugar.Le dimanche, le jour de l'élection, 12 des 18 candidats à la présidentielle - en fait, tous les candidats de premier plan présidentielle, sauf le choix du gouvernement actuel, Jude Célestin - avait publiquement appelé à des élections doit être annulée. Ils ont été soutenus par des milliers de manifestants dans les rues.Le déroulement des élections s'est avéré être encore pire que prévu. Il y avait des rapports faisant état de personnes ne pouvant pas voter parce qu'ils ne figuraient pas sur les listes électorales, les incidents de bourrage des urnes et autres irrégularités.Malgré tout cela, l'Organisation des États américains a publié son communiqué publié lundi: «La mission conjointe ne pense pas que ces irrégularités soient aussi graves, qu' ils 'seraient, nécessaire l invalidation de processus." Pas étonnant que les dirigeants de l'Amérique latine et les Caraïbes aient rencontré en Février dernier et aient décidé de créer une nouvelle organisation régionale sans les Etats-Unis et au Canada.Haïti, bien sûr, a d'autre problèmes qu'une élection bidon. Et, en fait, c'était une plainte entendue sur le terrain - pourquoi c'était de l'argent gaspillé pour un cirque électoral où les gens n'ont pas accès à l'eau potable, et le pays est en plein milieu d'une épidémie de choléra? La crise-ci semble avoir été poussé hors de l'écran radar du monde par l'élection, en dépit du fait que l'Organisation des Nations Unies ait pu augmenter que d'environ 10% de la somme de 164 millions dont ils ont besoin pour traiter une épidémie qui est estimé croître à 400.000 des cas de choléra dans la prochaine année.
Mark Weisbrot guardian.co.uk,
Tous ces incidents n'empêchent pas le chef de la mission de l'ONU en Haïti, Edmond Mulet, d'assurer que tout se passe très bien. «Le climat est apaisé, tranquille, serein et sans violence dans les circonstances haïtiennes», a-t-il assuré en conférence de presse hier.
Pourtant, dans la rue, cet optimisme est inexistant. Et les soupçons de fraude font monter la tension, à la veille d'un vote où le régime du président René Préval se sent menacé. Ils alimentent aussi le scepticisme des électeurs, qui sont nombreux à résumer le processus électoral par un seul mot: magouille.......Le remake du scenario en Cote D'ivoire ....
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Avec ça il y en a encore qui continuent de parler de reconnaissance de la prétendue communauté internationale ou certification de l'ONU..pffff.....si on rajoute l'Afghanistan ou l'ONU e fait en complicité avec les ambassadeurs des USA et de la France ainsi que certains diplomates de l'UE les mêmes fraudes et certification qu'en Cote D'ivoire..
La communauté internationale a deux autres bonnes raisons de se porter garante d'une irréprochable légalité du scrutin(truqué).
La première tient à la nécessité de légitimer l'intervention militaire en Afghanistan auprès des opinions publiques des pays de l'OTAN gagnées par la lassitude. La seconde touche aussi à la légitimité de sa présence en Afghanistan, mais auprès de l'opinion afghane cette fois. «Si la communauté internationale cautionne les fraudes de Karzaï, met en garde Fahim Dashty, le rédacteur en chef du Kabul Weekly, alors les Afghans penseront: "Quelle est la raison de sa présence ici? Pourquoi ne la combattrions-nous pas?"»
Fraude électorale : le président Karzaï contre-attaque
Le président afghan Hamid Karzaï devant la Commission électorale indépendante à Kaboul, le 1er avril 2010.
REUTERS/Ahmad Masood
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