Saturday 21 May 2011

CÔTE D'IVOIRE: Preuve d'une liquidation programmée



samedi 21 mai 2011

CÔTE D'IVOIRE: Preuve d'une liquidation programmée

ADO, le liquidateur principal de la CI
Tous les ivoiriens se souviennent des années de gouvernance de Ouattara sous le règne de FHB agonisant. Toutes ces privatisations, les marchés publiques nationaux au gré à gré, les réductions de salaires, les salaires à double vitesse (différents salaires pour le même emploi chez le même employeur (l'Etat), les licenciements et autres chômages techniques, les déflations de travailleurs du publique,... la liquidation totale de l'Etat. Nous sentons à nouveau aujourd'hui, les prémices d'une liquidation programmée de la Côte d'Ivoire depuis la prise du pouvoir de Ouattara, le 11 avril 2011, après le coup d'état opéré par les forces françaises licorne contre Laurent Gbagbo, élu par le peuple ivoirien, le 28 novembre 2010.

Revoilà les marchés de dupes
En effet, en plus de sa sécurité qu’il confie à l’armée française à 21 milliards cfa par an, un autre fait que le contribuable ivoirien ignore, est la gratuité de la fourniture de l’électricité au Burkina Faso.Désormais le pays des hommes intègres n’aura plus à débourser un sou.
En outre, un ressortissant de ce pays dirige le port de San Pedro. Et cela pour bons et loyaux services. Autrement dit, c’est la part du Burkina Faso dans le partage du gâteau ivoire.

Revoilà les reductions de salaires et autres prélèvements abusifs
Par ailleurs, le salaire des fonctionnaires ivoiriens est menacé pour compenser les déficits ainsi créés. En effet, Alassane Ouattara veut diminuer leur salaire pour dit-on  la reconstruction du pays. Puisque ses rebelles et ses parrains de l’extérieur ont aidé à complètement détruire la Côte d’Ivoire. Il faut bien faire supporter le poids de la reconstruction par les contribuables ivoiriens. Et ce sont les fonctionnaires qui doivent en payer le lourd tribu.
La question que l’on se pose, est pourquoi les fonctionnaires ?
N'appartient-il pas au putschiste Alassane Ouattara et ses parrains de le faire? 
Que la France, les Etats-Unis, les Nations Unies, l’Union européenne, l’Union africaine, la Cedeao mettent donc la main à la poche pour reconstruire tout ce chantier qui va être confié aux entreprises occidentales.

Revoilà la privatisation et la recolonisation
Depuis la prise du pouvoir par la force, par Dramane Ouattara, c’est à une résurrection du système colonial qu’il est donné  aux Ivoiriens de voir. Au niveau de l’Administration, un proche de Ouattara révèle ceci:« Désormais, l’administration sera assistée par des experts européens». Et d’ajouter sans sourciller, que pour parvenir à un tel objectif, le Président Ouattara a fait appel à plus de mille fonctionnaires de nationalité française et américaine ayant pour mission d’évaluer les fonctionnaires Ivoiriens et qui seront payés par l’Etat de Côte d’Ivoire. Donc payés sur le dos du contribuable ivoirien. D’autre part, ajoute notre source, chaque Directeur général des régies financières sera assisté par un Français.
Ouattara lui-même donnera l’exemple. Car dira-t-il, « Nous savons que l’ancien Directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Michel Camdessus a déjà été contacté pour assister Ouattara en tant que Conseiller spécial à la Présidence. C’est lui qui déterminera l’ordre du jour concernant les différents conseils de Ministres, en relation avec l’Elysée. C’est encore lui qui
approuvera si oui ou non, la Côte d’Ivoire doit contracter avec d’autres pays en
matière d’exploitation des richesses naturelles du pays. Sur le plan militaire,
c’est le retour sans condition du 43è BIMA. Une armée qui servira d’avant-garde à toutes velléités d’attaques extérieures ou internes 
». En un mot comme en mille, c’est le retour au système colonial en côte d’Ivoire.

L'intérêt du peuple
Tout ceci contraste terriblement avec un Laurent Gbagbo, jaloux de la souveraineté et l'indépendance véritable de son pays. Ce dernier affirmait dans sa dernière interview,  « S'il y a une chose que je ne supporte pas, c'est la soumission. Surtout quand elle engage la vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j'en paie le prix. Je n’accepterai jamais que mon pays soit soumis pour l’intérêt d’un autre peuple ou d’une autre Nation fut elle la France »
Ouattara lui ne se gène pas outre mesure de vendre le pays qu’il dit être le sien. 
Pauvre Côte d'Ivoire, tu devras encore patienter pour ta libération, ton indépendance véritable des puissances impérialistes occidentales. Mais sois sûre que ce jour viendra. Et ce jour là...

Friday 20 May 2011

Le seul légal et légitime président de la république de Cote D'Ivoire élu par le peuple et investi par le conseil constitutionnel...

A quelques heures du simulsacre


A quelques heures du simulsacre !

Curieusement, les médias francophones sont muets ce matin : honte ou tout simplement incertitude face aux menaces des fidèles de Laurent Gbagbo qui ont promis de gâter la cérémonie ? En tout cas, on assiste à la mise en place d’un gigantesque cordon de sécurité pour empêcher les fauteurs de trouble de se manifester !

Le président Gbagbo a été transféré en dehors de Korhogo pour éviter les tentatives de le libérer; on fait venir des foules de burkinabés pour acclamer Ouattara  1er,  Ado-la France, dit ADOLF, en référence à l'autre, de sinistre mémoire pour les Occidentaux. Les deux Adolf ont ceci en commun, qu'ils ont précipité, hier l'Occident, aujourd’hui la Côte d'Ivoire et toute l'Afrique, dans le chaos et la ruine pour de nombreuses années; c'est pour cela que la situation est critique.

Avec l'installation du “préfet” de Côte d'ivoire, son installation par la force, au prix du sang et des larmes de milliers d’innocents, les puissances de l'axe "démocratique et républicain" Sarkozy-Obama mettent en place une dictature où les droits élémentaires sont bafoués, où les Ivoiriens –et les Africains à leur suite- ne sont que des travailleurs ”bon marché”, réquisitionnés pour faire sortir de leur pays toutes ces richesses dont l'Occident exsangue pourra continuer à se gaver sans modifier son train de vie : celui qui consiste à maintenir dans la pauvreté un nombre croissant de Français et d’Américains, tandis que les nantis se partagent des parts toujours plus grosses du gâteau !

Ce qui arrive à la Côte d'Ivoire aujourd'hui est la répétition générale du sort de tous les pays dits du tiers-monde sur lesquels l'occident à jeté son dévolu !  Et pour beaucoup d'Africains, accepter aujourd'hui passivement cette inféodation de la Côte d'Ivoire, c'est accepter toutes les mises à genoux à venir, par de vraies fausses élections; c'est l'assurance d'avoir des pouvoirs corrompus entièrement aux ordres de l'étranger; c'est accepter que toutes les richesses soient pillées et qu'aucun mieux être ne soit donné en échangesi ce n'est des cacahuètes, un peu de scolarité, de santé, des plans d'urgence, bref, faire semblant pour les occidentaux d'être généreux et plein de bons plans pour aider les africains à devenir soi-disant autonomes. Avec le président Gbagbo cela en prenait le chemin, mais justement la France, qui n'a pas de pétrole mais des idées, aime les idées au point d'en revendiquer le monopole : le sol ivoirien, le sous-sol et les fonds marins regorgent de richesses, et le président Gbagbo et les ivoiriens fourmillaient d'idées, de projets; mais voilà ils pensaient si bien pouvoir se passer de la France et de l'Amérique qu’ils l’ont dit trop fort ! Et cela est intolérable pour la mentalité occidentale pourrie qui est la nôtre! Le partage, un mot qui est dans toutes les bouches, n'est en fait qu'un synonyme de pillage, pillage éhonté, sans états d'âme, refus des responsabilités, refus d'assumer tout simplement son humanité pour préférer la bestialité sous toutes ses formes , et dans ce domaine l'histoire nous a appris que "plus jamais ça" voulait dire, "attendons quelques années et remettons cela à la puissance x ! " Plus c'est gros, mieux ça passe ! C'est ce que nous devrions nous apprêter à vivre demain : l'Installation en grande pompe d'un petit dictateur qui n'est rien sans son mentor, et qui va mettre aux arrêts tout un peuple après l'avoir humilié, décapité en la personne de son souverain légitime, broyé, ensanglanté, et qui aujourd'hui ose parler de pardon, de réconciliation, de coopération ! De qui se moque-t-on?

Pour beaucoup d'Ivoiriens, chrétiens et musulmans, la patience de Dieu au regard de l'histoire, est certainement infinie, tant qu'il ne se mêle pas d'en changer le cours, mais voilà, avec l'affaire DSK, beaucoup de gens -et pas que des sots- voient que la patience d'En Haut a atteint ses limites : on commence à voir apparaître de tous petits grains de sable dans les rouages, si petits que l'on préfère les ignorer, chercher à qui profite le crime dans l'affaire DSK, par exemple, salir, calomnier, se persuader que le mal n'a qu'un visage, celui de l'autre!  En Côte d'ivoire aussi, le tribunal n'est prévu que pour Gbagbo et son clan, le “dictateur” Gbagbo sur lequel on peut rejeter tous les crimes dont la France, la Licorne et les ouattaristes sont comptables depuis des années, et singulièrement depuis ces 40 derniers jours que Gbagbo est tombé!

Gbagbo, humilié, abaissé au nom d'une foi qui permet d'encaisser tous les coups sans riposter, de croire que l'ennemi est un ami en devenir, que la prière et la non intervention face à la menace vont transformer l'ennemi ! Oui la faute de Gbagbo a été de croire en l'homme, en sa bonté première; de croire aux paroles données, surtout à des occidentaux qui ont semble-t-il la même foi, les mêmes valeurs!

"Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, tends-lui aussi l'autre" : ces mots tirés du sermon sur la montagne, il faut bien les comprendre. Pour ceux qui croient que cette parole veut les entraîner dans un interminable punching ball style "peace and love”, je me permettrai de la revisiter dans une perspective juive, où il s’agit d’identifier l'ennemi et de lui donner une seconde chance de modifier sa trajectoire, avant l'anathème et le jugement : joue droite, puis joue gauche, et ça s'arrête là ! Il n'y a pas de troisième joue, après vient le temps du jugement , et ce jugement est déjà une réalité dans la mesure ou les économies occidentales sont en faillite ! Maquiller cette réalité n'empêchera pas l'Histoire de s'inviter dans l'histoire de la France et des États-Unis, pour que justice soit rendue à la Côte d'Ivoire et à tous les peuples martyrs des plans sordides échafaudés sur leur dos, pour leur spoliation.

En attendant le grand déballage, je me réjouis de tous les grains de sable à venir, et j'en vois déja quelques uns se profiler à l'aube de cette prise en main du destin de la Côte d'ivoire et de l'Afrique par la France, l’Onu  et autres Prédateurs !

Shlomit Abel

LE PR. GBAGBO BIEN TRAITÉ?- SÉNATEUR INHOFE « CE N’EST PAS VRAI »


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C’est à une véritable passe d’armes que se sont livrés jeudi au Sénat, les autorités américaines sur les conditions d’incarcération du Président Gbagbo, capturé le 11 avril dernier par les forces françaises Licorne.
C’était lors de l’audition de la Commission des Affaires étrangères du Sénat américain sur les événements en Côte d’Ivoire ayant abouti au coup d’Etat contre le Président Gbagbo, et sa déportation dans des conditions inhumaines à Korhogo, au Nord du pays.
William Fitzgerald, porte-parole du département d’Etat et proche de Ouattara, qui affirmait que Laurent Gbagbo était "en bonne santé et bien traité" a vite été démenti par le Sénateur Inhofe.
"Il est en bonne santé et bien traité", a dit M. Firzgerald devant la commission des Affaires étrangères du Sénat.
Il n’en fallait pas plus pour que le Sénateur républicain James Inhofe sorte de ses gongs. "Ce n`est pas vrai", a-t-il dit avant de montrer des photos du couple Gbagbo après leur arrestation. "Regardez cette photo, il a été frappé sur le côté du visage", a-t-il dit en montrant une photo de Laurent Gbagbo. Montrant ensuite une photo de Mme Gbagbo entourée de soldats du président Ouattara la tenant comme un trophée, il a lancé: "faites preuve d`imagination, vous savez ce qui s`est passé".
La vidéo ci-dessous vous retrace l'ambiance de cette audition, hier au sénat américain.

L’un des points de convergence au cours de cette audition était que les Etats-Unis veilleraient à ce que les violations des droits de l`homme soient punies des deux côtés. Autrement dit, les massacres et épurations ethniques des FRCI d’Alassane Ouattara seraient passés au crible.
« Nous allons faire en sorte que cette promesse soit tenue et nous assurer qu`il n`y aura pas d`impunité", a affirmé M. Fitzgerald.
L’insécurité a également été au cœur des auditions de la Commission sénatoriale. En effet M. Fitzgerald a déploré l`insécurité qui continuait de sévir en Côte d`Ivoire malgré la fin des hostilités après le kidnapping de Laurent Gbagbo et de son épouse le 11 avril.
Il a ajouté que les auteurs de violation des droits de l`homme devraient être traduits en justice.
Didier Gossiho
Correspondant permanent aux USA

Thursday 19 May 2011

L'intronisation du grand maître de la loge Ouest Africaine aura t -elle lieu ?.

Tito Berlusco
INVESTITURE DE OUATTARA SAMEDI A YAMOUSSOUKRO : au menu, du champagne et des larmes de sang.

Source : Telediaspora.net : Dernière Mise à jour : 20/05/2011 (Auteur : autres)
Lu : 546 fois
Une investiture a-t-elle jamais été aussi médiatisée en Afrique ? Y’a-t-il jamais eu autant de sommités à une investiture en Afrique ? On ne parle plus que de ça : Les médias nationaux et internationaux. Yamoussoukro est en fièvre, Abidjan est en transe ! Depuis plusieurs semaines , des travaux herculéens ont cours dans la capitale politique pour préparer l’évènement : curage de caniveaux, désinsectisation de la ville au lac, peinture de trottoirs... . Même Abidjan qui n’aura pas l’honneur d’abriter ce moment ne devrait pas être jalouse outre mesure. La perle des lagunes se pare de ses attributs des grands jours : des drapeaux qui flottent sur le boulevard Giscard d’Estaing, des coups de balais quasi-quotidiens, de grandes affiches dans les rues qui annoncent l’évènement… La liste des invités attendus et leurs qualités font pâlir d’envie le premier noir à la maison blanche. En tête bien évidemment sa « Seigneurie très guerrière » Nicolas Sarkozy, le grand guerrier dont la main puissante à défait le nœud de la forteresse de Laurent GBAGBO contre la clôture de laquelle partaient s’écraser telles des bulles d’eau la horde de combattants de Ouattara. Sarkozy est donc annoncé. Avec lui, « qui pouvait en douter ? », le Samouraï sud-coréen, « Maître » BanKi Moon, qui a dû enfiler son Kimono des grands combats pour la grande bataille contre Laurent GBAGBO. Pourquoi autant de fastes, autant de solennités pour l’investiture de Ouattara alors que cet évènement vient juste après celui de la commémoration des morts que Ouattara a lui même décrété ? Ces milliers de morts que Ouattara a enjambés pour en arriver là ? Les larmes ont-elles séché aussi vite au point qu’on n’y mette pas de la mesure en respect des morts ? Pourquoi ce gala des vainqueurs de la guerre maintenant alors que les ivoiriens sont sur les routes pour l’exile par milliers, ils vivotent dans les camps de réfugiés, le pain quotidien est un casse-tête, leur sécurité est problématique… La situation en Côte d’Ivoire était nettement meilleure, mais Laurent GBAGBO avait préféré organiser une modeste fête du cinquantenaire. Il disait « comme nous sommes en crise, nous allons faire quelque chose de symbolique. Après les élections, quand on va sortir de la crise celui qui sera là pourra organiser une fête grandiose… » .Et si Ouattara s’abreuvait dans cette sagesse, juste pour le respect des ivoiriens qui pleurent, qui meurent encore ; et organisait quelque chose de modeste au lieu de cette cérémonie ostentatoire?

Ouattara encore et toujours en quête de légitimité

Ce qui se déroule sous nos yeux s’appelle un « blanchissement de pouvoir ». Tout comme l’indélicat comptable qui, par une gymnastique d’opérations comptables, efface les traces de fonds acquis illégalement pour les insérer dans le circuit normal, Ouattara ploie encore sous le poids de l’endémique obsession de donner à son pouvoir tiré des décombres de la Côte d’Ivoire un visage normal. Il avait prêté serment sur une feuille de copie d’écolier pour l’expédier au conseil constitutionnel. Cela ne l’a pas guéri de sa crise d’Illégalité. Il s’est réfugié derrière la certification de Choi Young Jin, le mal à survécu. Après avoir été conduit au palais sous une escorte hors-norme dans les chars et bombardiers français et onusiens, il a appelé au secours l’institution de Paul Yao N’dré qu’il avait vulgarisée au profit de la certification de Choi, pour se donner un visage légal. Cette cérémonie d’investiture avec démesure rentre justement dans ce besoin de blanchir son pouvoir. Ses alliés de la guerre en Côte d’Ivoire le savent si bien qu’ils ne peuvent manquer de l’aider à apporter ce coup de pinceau qui puisse obstruer un tant soit peu le sang de Duékoué qui pleure toujours. Voilà pourquoi Sarkozy qui a toujours conditionné sa visite au pouvoir de Laurent GBAGBO par les moindres détails démocratiques pourra survoler Duékoué la martyre de Ouattara avec ses 800 morts qui débordent des fosses communes pour effectuer sa première visite au pays d’Houphouet Boigny. Voila pourquoi Banki Moon pourra supporter la puanteur du sang mal séché de Duékoué pour venir investir Ouattara. Voilà pourquoi Wade, Compaoré et autres Goodluck Jonathan se faufileront entre les corps en putréfaction pour venir à l’investiture de Ouattara. Voilà pourquoi, sont invités une trentaine d’artistes dont les louanges à Ouattara pourront étouffer pour l’occasion les cris de détresse des 30 000 réfugiés de la paroisse du père Cyprien à Duékoué et les hurlements des gens qui tombent encore sous les balles des rebelles à l’ouest.
Mais tout cela, c’est presque peine perdue ! Car l’image qu’on retiendra de l’arrivée au pouvoir de Ouattara, ce n’est point celle des longues files d’attente devant les bureaux de vote le 28 novembre 2010, mais celle des bombes qui pleuvaient sur Abidjan et d’un Laurent GABGBO arrêté par les forces françaises et livré aux rebelles de Ouattara pour qu’il foule le palais d’Abidjan. Les artifices ne pourront point gommer cette image .Ouattara n’est pas président en tant que vainqueur d’élections, mais vainqueur d’une guerre.Voilà ce que l'histoire écrira

UN WATCH IVORY COAST: Crise ivoirienne : La partialité des médias frança...

UN WATCH IVORY COAST: Crise ivoirienne : La partialité des médias frança...: "Crise ivoirienne : La partialité des médias français dénoncée Publié le7 janvier 2011 par directscoop 3 PARIS – « Il y a une certaine uni..."

Crise ivoirienne : La partialité des médias français dénoncée


Crise ivoirienne : La partialité des médias français dénoncée

Publié le7 janvier 2011 pardirectscoop

PARIS – « Il y a une certaine uniformisation très curieuse de certains médias français, une sorte de formatage de l’opinion publique »,  a dénoncé sur les ondes de Kernews, le politologue Michel Galy, chercheur au Centre sur les conflits et animateurs de la revue «Culture et conflits».
Selon Galy, « pendant qu’Abidjan, l’opposant Alassane Ouattara, perdant des élections du 28 novembre et Guillaume Soro, chef de la rébellion des Forces Nouvelles sont enfermés à l’Hôtel du Golf où ils sont de plus en plus isolés., à l’international, des médias à l’image de France 24 ou Radio France Internationale, qui dépendent du Quai d’Orsay et donc un peu de l’Elysée présentent une autre réalité des faits. »
Le politologue révèle aussi qu’ il y a une certaine position très dominante liée à cet effet miroir entre la France et la Côte d’Ivoire obligeant certains journalistes des médias français à véhiculer des informations dictées par le Quay d’Orsay.
Depuis la réélection du Président Laurent Gbagbo avec 51,45%, la France tente d’imposer sans succès son adversaire Alassane Ouattara à travers les médias internationaux. Ils n’ont pas hésité dans cette tentative à donner Alassane, vainqueur sur la base des résultats provisoires donné par la CEI alors que le Conseil Constitutionnel n’avait pas encore donné son verdict.
Le CNCA (Commission Nationale de Communication Audio-visuelle), organisme de régulation de la communication et de l’audio-visuel en Côte d’Ivoire, à même suspendu ces chaînes pour avoir violé les règles élémentaires de l’éthique et la déontologie du métier de journalisme

Wednesday 18 May 2011

UN FRANÇAIS REVÈLE: “LES FORCES DE OUATTARA TUENT ET CONSTITUENT DES CHARNIERS ATTRIBUES AUX PRO-GBAGBO”.


UN FRANÇAIS REVÈLE: “LES FORCES DE OUATTARA TUENT ET CONSTITUENT DES CHARNIERS ATTRIBUES AUX PRO-GBAGBO”.

A la recherche d’ informations sur le scandale sexuel du responsable du FMI, un ami à SARKOZY, nous avons rencontré le samedi dernier à l’hôtel Sofitel à Manhattan un touriste français qui, à notre grande surprise, semblait plus préoccupé par les souffrances du peuple de Cote d’Ivoire: “Je ne m’intéresse pas du tout à la vie mouvementée de ce type ( Ndlr: Mr Dominique STRAUSS) ” balise t-il d’emblée la conversation avant d’ajouter: “ Je suis plutôt outré par le développement du drame ivoirien”. Un drame selon lui fabriqué par son pays la France et l’ONU. “Vous, les médias, devriez plutôt aller en Côte d’Ivoire et rendre compte de la souffrance des nombreuses personnes qui sont exécutées chaque jour dans les villes et villages de ce pays mais dont personne ne parle ici à New York.
Ce qui se passe dans cette partie du monde est vraiment triste et révoltant”. La cinquantaine révolue, Nicholas LECHIENT insiste à ce que cela soit su car il dit avoir perdu son épouse, une ivoirienne d’ethnie Guéré et 6 membres de sa famille qui ont tous été exécutés par les soldats d’Alassane Ouattara en sa présence dans le quartier de Yopougon alors que, lui, a été épargné à cause de la couleur de sa peau. Très amer, Mr LECHIENT éprouve un véritable dégoût à l’égard des Présidents OUATTARA, SARKOZY et OBAMA: “Ce que ces gens ont créé en Cote d’Ivoire ne s’effacera jamais de la mémoire collective. Ecrivez le, Il y a eu plus de morts en Côte d’Ivoire qu’il n y en a eu ici lors des attentats du 11 septembre et cela continue toujours contrairement aux mensonges des nouvelles autorités ivoiriennes. Ce qui est plus révoltant, c’est que ce sont ceux qui ont commis ces crimes qui sont au pouvoir et se chargent aujourd’hui d’en trouver les responsables .
C’est vraiment la comédie juridique dans ce pays où tous les journaux de l’opposition sont aussi condamnés au silence et leurs sièges transformés en QG des combattants indigènes et incultes de Ouattara; Plus personne ne doit véhiculer d’ autres messages que ceux du nouveau Président et ses hommes. Si c’est cela la démocratie voulue par OBAMA et SARKOZY, j’ai pitié pour ces soit disant ”grands de ce monde”.
Interrogé sur les nombreux charniers découverts chaque jour à Abidjan et attribués aux pro-GBAGBO, le touriste Français est sans détour: “C’est de la distraction. Comme elles sont accusées d’avoir massacré plus d’un millier de personnes à Duekoué, les forces de Ouattara cherchent aussi à épingler le camp GBAGBO. Mais, que cela soit à Duekoué comme à Abidjan, pourquoi les forces pro Gbagbo attendraient elles que les pro Ouattara les attaquent avant d’aller tuer des civils ? Cela a t-il un sens ? Le gouvernement OUATTARA fait des accusations stupides comme si son armée de rebelles n’avait pas combattu. Pourquoi les hommes de Gbagbo tueraient ils des gens qui ont majoritairement voté pour GBAGBO? Or c’est ce que le pouvoir Ouattara cherche à faire avaler au monde entier quand il parle de miliciens pro-Gbagbo et de découvertes bizarres de charniers évidemment constitués par lui-même. Ce sont toutes les personnes que les forces de Ouattara elles mêmes ont exécutées qu’elles ramassent à travers le pays pour en faire des charniers attribués aux miliciens(?) pro Gbagbo. C’est triste et vous comprenez que l’objectif de Ouattara et de ses hommes est de se blanchir dans des procès ridicules qu’ils annoncent.
A un moment où l’on parle de mandats d’arrêt internationaux contre Kadaffi et sa famille, Ouattara et ses tuteurs usent de toutes les combines pour échapper à cette mesure, inévitable pour lui si vraiment la justice est de ce monde. Dans tous les cas, la Cote d’Ivoire est devenue la terre d’expérimentation de toutes les incongruités de cette dernière décennie surtout quand on y forme cinquante après les indépendances “une armée républicaine” avec des analphabètes de tout acabit. Allez y comprendre quelque chose!”
Côte d’Ivoire, terre d’expérimentation de toutes les incongruités de cette dernière décennie
C’est par ces mots que Nicholas LECHIENT a terminé l’entretien qu’il a eu avec nous avant de regagner sa chambre dans ce luxueux hôtel de New York. L’émotion et la rage qu’on a pu lire sur son visage nous ont convaincu sur la réalité du drame des ivoiriens et surtout du black out total dont il fait l’objet de la part des médias étrangers. Mais dans ce monde moderne des nouvelles technologies de l’information où rien ne peut être enterré en cachette, l’espoir est permis. Malgré cette option des nouvelles autorités ivoiriennes de tuer, de traumatiser, de forcer tout le monde au silence, tout se saura maintenant ou plus tard. L’illettré Capitaine et seigneur de guerre qui se croit tout permis à Bouna savait il que la vidéo de son interrogatoire pouvait être regardée sur notre site quelques minutes seulement après la fin de ses errements ?
Une chose est sure; Nicholas LECHIENT connait bien ce pays où il a passé 19 années de sa vie. En insistant sur “Cote d’Ivoire, terre d’expérimentation des incongruités de cette dernière décennie”, il nous rappelle que c’est bien ici que, se servant d’une véritable acrobatie juridique sans précédent, Paul Yao N’DRE, Président de la plus haute institution en matière d’élections a déclaré le 5 Mai dernier, Alassane Ouattara vainqueur des Présidentielles du 31 Octobre 2010 après l’avoir fait dans les mêmes conditions pour GBAGBO quelques mois auparavant. En se débrouillant pour trouver des “tra la la” inimaginables afin de justifier cette pirouette d’une exclusivité déconcertante, ce grand homme de lois venait ainsi de se signaler dans l’histoire des rares et courageuses prouesses juridico-constitutionnelles dans le monde.
Si, pour s’accommoder ce saut vu comme étonnant et humiliant, d’aucuns ont estimé que Yao n’avait pas de choix, c’est le sérieux et le courage même de la justice ivoirienne qui nous interpellent car elle nous donne des frissons quand nous regardons aujourd’hui comment elle opère pour désigner les responsables des nombreux massacres des ivoiriens pourtant déjà révélés dès les premières heures par les organisations internationales. Certainement une parodie de procès se prépare contre GBAGBO et ses partisans.
Jack SARKORRACHI
Source: TWN

UN WATCH IVORY COAST: US Senate Committee on Foreign Relations: Côte d’I...

UN WATCH IVORY COAST: US Senate Committee on Foreign Relations: Côte d’I...: " raciste. La preuve ? Je viole même des négresses US Senate Committee on Foreign Relations: Côte d’Ivoire Hearings MAY 18, 2011 10:54 AM ..."

US Senate Committee on Foreign Relations: Côte d’Ivoire Hearings



US Senate Committee on Foreign Relations: Côte d’Ivoire Hearings

MAY 18, 2011 10:54 AM COMMENTS (3)
Dans le cadre d’une enquête ouverte sur la crise ivoirienne par la commission sénatoriale des Etats Unis chargée des affaires étrangères présidée par le Sénateur John Kerry, une audition sera organisée ce jeudi 19 Mai 2011. Il s’agit pour le sénat américain de recueillir des avis et témoignages sur la crise postélectorale qui a endeuillé la Côté d’Ivoire.Tous les ivoiriens sont conviés à participer massivement à cette importante audition aux endroit et temps suivants :
Date: Jeudi 19 Mai 2011
Heure: 02:30 (après-midi)
Lieu: 419 Dirksen Senate Office Building
Si le témoignage écrit est disponible, il sera affiché immédiatement après ajournement de l’audition.

La commission d’enquête est composée de :
Président : Sénateur John Kerry
Jury 1
Mr. William Fitzgerald
Deputy Assistant Secretary of State Bureau of African Affairs
Department of State
Washington, DC
Ms. Nancy Lindborg
Assistant Administrator Bureau of Democracy, Conflict, and Humanitarian Assistance
United States Agency for International Development (USAID)
Washington, DC
Jury 2
Dr. Michael McGovern
Director of Graduate Studies of African Studies
Yale University
New Haven, CT
Ms. Jennifer G. Cooke
Director of Africa Studies
Center for Strategic and International Studies
Washington, DC
Dr. Raymond Gilpin
Director of the Center for Sustainable Economies
United States Institute of Peace
Washington, DC
To All the Ivoirians,
All the Ivorians are invited to assist and participate at this hearing at the address below.
Date: Thursday, May 19, 2011
Time: 02:30 PM
Location: 419 Dirksen Senate Office Building
Next Steps in Côte d’Ivoire
U.S. Senate Committee on Foreign Relations
Presiding: Senator John Kerry
Date: Thursday, May 19, 2011
Time: 02:30 PM
Location: 419 Dirksen Senate Office Building
Agenda
If written testimony is available, it will be posted immediately after the hearing adjourns.
Panel One
Mr. William Fitzgerald
Deputy Assistant Secretary of State Bureau of African Affairs
Department of State
Washington, DC
Ms. Nancy Lindborg
Assistant Administrator Bureau of Democracy, Conflict, and Humanitarian Assistance
United States Agency for International Development (USAID)
Washington, DC
Panel Two
Dr. Michael McGovern
Director of Graduate Studies of African Studies
Yale University
New Haven, CT
Ms. Jennifer G. Cooke
Director of Africa Studies
Center for Strategic and International Studies
Washington, DC
Dr. Raymond Gilpin
Director of the Center for Sustainable Economies
United States Institute of Peace
Washington, DC

Tuesday 17 May 2011

ALERTE!!! LES FORCES PRO-OUATTARA ANNONCENT UNE GRANDE OFFENSIVE SUR GAGNOA ET SES ENVIRONS!


MERCREDI 18 MAI 2011
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Les Forces pro-ouattara stationnées à Gagnoa sous le commandement de Diomandé Vassézé, ont annoncé lundi 16 mai 2011 lors d’une réunion dans les locaux de la mairie de Gagnoa, qu’elles préparaient une offensive sur le département et principalement dans les villages pour mettre hors d’état de nuire des hommes qui posséderaient encore des armes.
« Nous travaillons sur renseignement. J’ai la liste de tous ceux qui ont été recrutés, la liste des miliciens et des responsables des mouvements patriotiques qui les encadraient. Et même les lieux où sont les ordinateurs qui ont servi à la saisie des noms. Nous avons saisi à ce jour 500 fusils de calibres 12 de fabrication russe, 55 obus et 40 grenades. Nous ne sommes contre aucune ethnie. Dans les villages, on nous signale la présence d’hommes en tenue. Si vous les dénoncez, il n’y a pas de problème. Mais si vous ne les dénoncez pas, le village subira les conséquences de notre colère », a averti le commandant Diomandé Vassézé, en présence des autorités administratives, politiques et traditionnelles du département.
Un message très clair qui en dit long sur la manière de gouverner du camp Ouattara.
En d'autres termes, pour Diomandé Vassézé, soit les villages bété du département de Gagnoa d'où est originaire le président Gbagbo, décident de se rallier au camp Ouattara et les autochtones auront la vie sauve. Soit, ils décident de ne pas se rallier. Dans le second cas, comme il le dit lui-même, ils subiront "les conséquences de notre colère".
On sait en Côte d'ivoire comment se manifeste leur colère. Il suffit de se rendre à Duékoué.
Voici l'Etat de droit que Alassane Ouattara nous promettait tant. Il est enfin arrivé, avec la complicité et la protection de la France. Un Etat où dire non à Alassane est passible de la peine capitale, c'est la mort dans des conditions atroces.
Après Duékoué, après le peuple Guéré, c'est autour du département de Gagnoa où vivent les bété. Si pour les premiers leur crime c'était d'avoir voté le candidat Gbagbo Laurent, les seconds c'est d'être les parents du Président Gbagbo.

Alerte, un second génocide se prépare. S'il vous plaît faites passer le message avant qu'il ne soit trop tard !

Expose the Corruption behind the Ivoirian Presidential Crisis



Dear Senators, 

I have been closely following the events in Côte d’Ivoire since prior to the
disputed 2010 presidential election, and I am convinced that an investigation
is necessary into the legitimacy of Alassane Ouattara as president. In
addition, numerous accounts of election fraud and atrocities committed by
Ouattara’s Rebel forces against civilians were presented to, and then ignored by
the international community. Its neglect has resulted in an illegitimate
president and genocide underway in Côte d’Ivoire.

In media reports of the Ivoirian crisis, President Gbagbo is made out to be a
"strongman"—a "dictator" who refuses to cede power.  Reports from the United Nations, who has remained a biased figure in the crisis, claim that Gbagbo is responsible for mass graves in neighborhoods belonging to many
of his supporters.  They suggest that Gbagbo's "militia" retaliated, but the graves were believed to have been created by an attack on
April 12, and Gbagbo lost most of his "militia" prior to his capture
on April 11.  Since Gbagbo's capture, Gbagbo-supporting civilians have
been raped, killed, slaughtered by machetes, and tortured by Ouattaran Rebels
who now roam the streets of all neighborhoods in Côte d’Ivoire, especially
those belonging to Gbagbo-supporting civilians.  Therefore, it is
impossible that President Gbagbo is responsible for the mass graves and they
are most likely graves of those killed by Ouattara's Rebels.  Furthermore,
no evidence has been presented by the U.N. who has made these accusations.
 In the U.S. Constitution, it's required that the burden of proof falls on
the accuser; therefore, why has no evidence or documentation been presented
that makes for these claims?  

Since the failed 2002 coup d’état that resulted in a civil war and a
divided nation, the United Nations has maintained an active presence
in Côte d’Ivoire by the formation of the United Nations Operation
in Côte d’Ivoire (UNOCI).  A resulting U.N. "Ouagadougou Peace
Agreement" in 2007 required that the Rebel forces disarm and that the
nation must be in a stable state in order for elections to be held.
 Ouattara outwardly deemed the disarmament unnecessary, whereby they were
permitted to rape, dismember, disembowel and murder hundreds, if not thousands,
of Gbagbo-supporting civilians; and the U.N. relinquished their mandate to
protect civilians.  Overall, the U.N. abandoned their own Peace Agreement
that required Rebel-disarmament and stability of Côte d’Ivoire which has
resulted in the stolen election of Alassane Ouattara and genocide of those who
oppose his presidency.  

There is also irrefutable evidence of ballot fraud in Rebel-held northern
regions of Côte d’Ivoire that has gone uninvestigated.  In the first
round of elections, President Gbagbo received thousands of votes from dozens of
precincts in the north; however in the second round he received zero votes,
which is statistically impossible.  In one of the five regions in the
north, a voter tabulation return sheet indicated that Ouattara received 149,598
votes; but when the total was officially reported it mysteriously rose to
244,471, a difference of 94,873 unaccounted votes.  In another instance,
there were 102,103 more votes than there were registered voters and therefore,
these were votes that were cast aside by the Constitutional Council.
 After reviewing the results and removing fraudulent ballots, the
Constitutional Council declared Gbagbo to be winner.  This disputed the
review by the Independent Electoral Commission (CEI) and release by the United
Nations who proclaimed Ouattara to be winner.  However, neither the CEI
nor the United Nations has authority to do so; and to do so thwarted the sovereignty
of Cote d'Ivoire and its Constitution which places sole authority to the
Constitutional Council, the Ivoirian equivalent to the American Supreme Court.
 Also, the CEI and United Nations refused investigation into the ballot
fraud which has resulted in a stolen election for Ouattara and an inappropriate
call for President Gbagbo to cede power, forcing the country into a further
unstable state on the brink of another civil war.

Since the beginning of 2011, Rebel forces launched every attempt to throw
President Gbagbo from power.  In March 2011, Rebel forces from the north
led an expedition down to Abidjan, the home of the presidential palace and
millions of Gbagbo supporters, to forcefully overthrow President Gbagbo from
power— murdering civilians and creating a massacre
of unfathomable proportions.  Over a thousand are believed to
have been murdered and many burned alive by Ouattara's Rebel forces in the town
of Duékoué, where over 200 U.N. "peacekeepers" were conducting what
they called "robust" patrols at the time of the massacre.  The
U.N. stated that they were "not-aware" of the incident; however, the
deputy head of the UNOCI, Guillaume Ngefa, contradicted the statement by
saying, "We have evidence, we have pictures, this was retaliation"
and that Ouattara's forces had in fact carried out the killings
in Duékoué.  He also commented that Ouattara's forces were carrying
out atrocities elsewhere, citing examples in many towns of rape, the
"disappearing" of Gbagbo supporters; and in one particular case, the
inhabitants of an entire village had been "emptied" and replaced by
Ouattara supporters.

French President Sarkozy has remained an active counterpart in the removal of
Gbagbo from presidency, and generally, France's invasive relationship
with Côte d’Ivoire has remained strong regardless of their independence in
1960.  However, Ouattara's 1990-1993 term as prime minister in Côte
d’Ivoire resulted in strong collusions with French businessmen by which 27% of
the assets of Ivoirian enterprises were French owned; and 240 subsidiaries and
more than 600 companies belonged to French businessmen, representing 68% of
direct foreign investments in Côte d’Ivoire.  When Gbagbo came to
power in 2000, he nationalized many of the French-controlled industries
including cocoa, resulting in huge financial losses for France and consequently
their economy, though for the Ivoirian people, it brought wealth and
prosperity.  The financial hit France faced inspired and resulted in their
involvement with Ouattara in the failed 2002 coup d’état.  Now,
joining in an alliance with the U.N. "peacekeepers" and Ouattara's
Rebel forces, French militia launched a final attack on April 10, 2011, bombing
the presidential palace for over 24 hours.  On April 11, 2011, President
Gbagbo was finally captured with his wife, Simone; son, Michel; and dozens of
other family members and ministers of his cabinet.  This is not the role
of the United Nations whose mandate is to remain impartial; and I condemn the
French involvement in attempting another coup d’état against the Gbagbo
presidency.

Pictures and videos released of the President and First Lady shortly after
their capture show tortures and abuses committed against them by the Rebel
forces, though they peacefully surrendered and no violence was necessary.
 On the First Lady in particular can be seen ripped clothing and a
flesh-exposed scalp from where her hair was ripped from its roots.
 Ivoirian media and close friends of the Gbagbo family have also testified
to the First Lady's repeated rape by the Rebels after being captured, all of
which has gone uninvestigated.  Therefore, their immediate release is
pertinent for resolving the current crisis.  

CALL TO ACTION

Senator, act now for the release of President Gbagbo and First Lady from the
northern towns of Côte d’Ivoire and his family and ministers imprisoned at
the Hôtel du Golf in Abidjan.  Investigate the eligibility of
Ouattara and legitimacy of his presidency in light of the ballot fraud
presented.Please bring to justice Ouattara's forces responsible for committing
atrocities against Gbagbo-supporting civilians including those of President
Gbagbo and the First Lady by Ouattaran Rebels.  Investigate the
justification for the U.N.'s partiality and supersession of their mandates to
protect civilians.  Question the lack of evidence brought forth from the
accusers of the crimes to which President Gbagbo has been accused.  Expose
the corruption and attack on democracy brought about by thwarting the nation's
sovereignty and ignoring their Constitution.  And lastly, review and
investigate for yourself the claims that have been made in this letter.

WE THE PEOPLE (Closing Statement)

Our entire Constitutional structure is being confronted and we do not want or
need a new Constitution.

"The framers of the U.S. Constitution designed separate institutions that
cannot be unified by mechanical linkages, frail bridges, tinkering."
 Nationalism is not a dangerous social disease; and the elimination of our
way of life and what we do to be true and honorable cannot be eliminated by any
measure employed by stealth.  Troops have been sent to nations with
promises that they would soon return home. NATO has become the military
enforcement arm of the United Nations.  When will Congress vote on troop
deployment?

In 2000, Senator Jesse Helms, Chairman of the Senate Foreign Relations Committee
and first member of the U.S. Congress to ever address the 15-member National
Security Council at the U.N., blasted the United Nations "for imposing its
presumed authority on the common people."  He said, 

"The U.N. is aspiring to establish itself as the central authority of a
new international order of global laws and global governance.  This is an
international order the American people will not countenance.  The
American people will never accept the claims of the United Nations to be the
sole source of legitimacy on the use of force in the world.  The United
Nations that seeks to impose its presumed authority on the American people
without their consent begs for confrontation, and I want to be candid, eventual
withdrawal.  As matters now stand, many Americans sense that the U.N. has
greater ambitions than simply being a deliverer of humanitarian aid, and a more
effective peacekeeper, a better weapons inspector, and a more effective tool of
great power diplomacy."

Senator Helms took issue with then-Secretary General Kofi Annan's calls for
increased "global engagement."  We concur with Senator Helms'
statement and applaud his courage in keeping the oath of his office without
soiling it with blind capitulation.  We believe that the people
of Côte d’Ivoire deserve no less than we and that the travesty inflicted
upon their sovereign nation to be addressed and rectified by those who have
likewise sworn to honorable service to our SOVEREIGN NATION.  We despise
any agreement that would dain to yield any United Nations sovereignty; and as a
nation that has protected the rights and freedom of others with the blood of
our own men and women, we adjure you to act with all speed and urgency in the
matter of a nation wronged. 

We further call upon you to examine our own precious United States' concerns
and leave no stone unturned to establish your honor, your integrity, and your
commitment, with courage and reaffirm your sworn oath to uphold the
Constitution of the United States of America without compromise for personal
gain but for what is just, right, honorable and true for "WE THE
PEOPLE" who love and serve this great sovereign country.

We count on you to swiftly respond and right the wrong.

Let Freedom Reign!!!!

Sincerely, 



Concerned Citizens